Ni Hollande, ni Copé, ni Sarkozy ne sont des perdreaux de l’année. Leur sens de la formule et de la répartie est même exceptionnel.

RHETORICO-LASER

31 octobre 2016

Hollande, Copé, Sarkozy "coincés" par des journalistes : mais pourquoi donc de grands fauves politiques se laissent ainsi prendre aux (gros) pièges médiatiques ?

Christophe de Voogd

0:00min

100%

0:00min

Entre prix du pain au chocolat et choix au second tour de la présidentielle, Jean-François Copé et Nicolas Sarkozy ont fait en petit ce que François Hollande a fait en immense : tomber dans des gros panneaux que leur expérience aurait dû leur faire éviter. Pourquoi donc ?

MOTS-CLES

Jean-françois copé , Nicolas sarkozy , Manuel valls , François hollande , Journalistes , Thomas sotto , Jean-jacques bourdin

THEMATIQUES

France, Politique

À PROPOS DES AUTEURS

Christophe de Voogd

Christophe de Voogd est historien, spécialiste de rhétorique politique et président du Conseil scientifique et d'évaluation de la Fondapol. Son dernier ouvrage publié est Victoire populiste aux Pays-Bas, spécificité nationale ou paradigme européen (Fondapol, 2024).

Populaires

1Et si le refus par François Bayrou d’assumer toute responsabilité dans l’état des finances publiques était surtout un aveu d’impuissance de l’Etat

2Bruxelles : "Molenbeek, aimez-la voilée ou quittez-là !"

1€ le premier mois Je m'abonne 12€/mois ensuite.
Annulez ou mettez en pause à tout moment.

3Immigration : la Cour de justice européenne « castre » encore un peu plus la souveraineté des États de l’UE

4Impôts sur les plus riches : petits retours d’expérience venus de Norvège, d’Espagne et du Royaume-Uni

5Et la génération qui a remplacé les quadras et quinquas comme âge le plus malheureux de la vie est…

6Rentrée scolaire : l’école est-elle suffisamment organisée pour faire face au nombre d’élèves issus de l’immigration dans les classes ?

7Et combien coûterait une nouvelle dissolution à la France ?