
© JOHN MACDOUGALL / AFP
INQUIETUDE SUR LES MARCHES
2 mai 2022
Vers le pire choc sur les prix depuis 50 ans : les États ou les banques centrales ont-ils les moyens d’agir ?
Face au Covid, la plupart des pays développés se sont lancés dans un quoi qu’il en coûte. Une recette similaire (au moins dans ses effets de protection des niveaux de vie) existe-t-elle pour un choc d’offre négatif ?
MOTS-CLES
Economie , Inflation , Hausse , Dépense , Tarifs , Réforme , Dollar , Euro , Monnaie unique , Banque centrale , Solutions , Choix , Décisions , Demande , Consommateurs , Banque mondiale , Bce , Banques centrales , Crise , Crise économique , Quoi qu'il en coûte , Covid-19 , Crise sanitaire , Bilan , Pénurie , Industrie , Matières premières , Guerre en ukraine , Céréales , Énergie , Europe , Ukraine , Russie , Allemagne , France , Asie , Chine , Grandes entreprises , Entreprises , Crise de 2008THEMATIQUES
Finance, Europe, InternationalGabriel A. Giménez Roche est professeur associé d'économie à NEOMA Business School. Il enseigne la macroéconomie, la théorie des cycles et les processus entrepreneuriaux dans des programmes de premier cycle et des cycles supérieurs. Il porte un vif intérêt aux sujets macroéconomiques qu'il commente dans la presse française et internationale. Ses recherches portent sur la théorie du malinvestissement, la zombification économique et les routines entrepreneuriales. Les recherches de Gabriel ont été publiées dans le Quarterly Review of Economics and Finance, Small Business Economics, The World Economy, Journal of Economic Issues, entre autres. Il est membre de l'American Economic Association et de la Royal Economic Society.