Donald Trump a parlé au total pendant une minute de plus qu’Hillary Clinton. Cela ne suffit pas à le satisfaire, ni à changer l'impression répandue parmi ses supporteurs selon laquelle il serait un outsider opprimé.

THE DAILY BEAST
14 octobre 2016
Trump, Berlusconi et cie : ce qui se joue quand les électeurs s'identifient à des puissants en pleine victimisation
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Donald Trump jouera éternellement la victime. Comme nombre de dangereux personnages avant lui, il utilise cette posture pour attirer à lui des sympathisants qui craignent de se voir dépossédés de leurs privilèges.
MOTS-CLES
Donald trump , Hillary clinton , Election présidentielle américaine 2016 , Oppression , Pouvoir , Seconde guerre mondiale , Progrès social , Mouvements sociaux , Abraham lincoln , Esclavage , Ku klux klan , Harcèlement , Intimidation , Domination , Politiquement correct , Privilèges , Misogynie , Minorités , Droit de vote , ÉlitesTHEMATIQUES
Politique, Histoire, Société, International À PROPOS DES AUTEURS
Maajid Nawaz est notamment président et cofondateur de Quilliam, un think tank à caractère global s'intéressant aux questions d'intégration, de citoyenneté et d'identité, de liberté religieuse, d'extrémisme et d'immigration.