Donald Trump a parlé au total pendant une minute de plus qu’Hillary Clinton. Cela ne suffit pas à le satisfaire, ni à changer l'impression répandue parmi ses supporteurs selon laquelle il serait un outsider opprimé.

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THE DAILY BEAST

14 octobre 2016

Trump, Berlusconi et cie : ce qui se joue quand les électeurs s'identifient à des puissants en pleine victimisation

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Donald Trump jouera éternellement la victime. Comme nombre de dangereux personnages avant lui, il utilise cette posture pour attirer à lui des sympathisants qui craignent de se voir dépossédés de leurs privilèges.