Les traitements les plus utilisés, aujourd’hui, sont ceux de seconde génération, avec en chef de file ceux à base de diméticone. Depuis 2006, le diméticone rentre comme principe actif dans de nombreux produits

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Les parents qui ont déjà mis des produits anti-poux sur la tête de leurs enfants ont appris, à leurs dépens, que les promesses des fabricants n’engagent que ceux qui les croient. Certains se résignent à passer des soirées entières à épouiller leur progéniture. D'autres renoncent. Dans tous les cas, ils auront dépensé dans les opérations anti-poux des budgets qui se chiffrent chaque fois en dizaines d’euros.
À PROPOS DES AUTEURS
Sandrine Banas est maître de conférences en parasitologie à la faculté de pharmacie de Nancy, Université de Lorraine