Les services de renseignement sont aux ordres du pouvoir politique qui les utilise.

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A la différence des pays anglo-saxons, il n’existe pas vraiment en France de « culture du renseignement ». Selon Igor Preline, un ancien colonel du KGB à la retraite, à son époque (jusqu’en 1991), la France servait de « cour de récréation » pour les stagiaires espions russes.
MOTS-CLES
Espions , Espionnage , Services secrets , Bilan , Perspectives , Découverte , Choix , Guerre en ukraine , Ukraine , France , Russie , Paris , Moscou , Kremlin , Vladimir poutine , Kgb , Quai d'orsay , Otan , Nations unies , Onu , Services de renseignement , Charles de gaulle , Georges pompidou , Etats-unis , Méthodologie , Contre-espionnage , Urss , Nouvelle guerre froide , Guerre froide , Ambassadeur de france À PROPOS DES AUTEURS
Alain Rodier, ancien officier supérieur au sein des services de renseignement français, est directeur adjoint du Centre français de recherche sur le renseignement (CF2R). Il est particulièrement chargé de suivre le terrorisme d’origine islamique et la criminalité organisée.
Son dernier livre : Face à face Téhéran - Riyad. Vers la guerre ?, Histoire et collections, 2018.