Vladimir Poutine, le président russe.

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FRATERNITE

4 décembre 2013

Ogre russe : et s'il fallait mourir pour Kiev, l'Europe en serait-elle capable ?

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En 1939, le pacifiste français Marcel Déat écrivait à propos de l'invasion de la Pologne : "Mourir pour Dantzig, non !" Alors que Kiev, la capitale ukrainienne, est depuis six jours agitée par des manifestations contre le gouvernement et qu'en cas de dérapage le pouvoir sait pouvoir s'appuyer sur la Russie, la question pourrait de nouveau se poser.