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François Hollande a fini par s’inspirer des notes économiques que DSK lui faisait passer pendant la campagne de 2012 et qu’il balayait avec mépris en ces temps qui paraissent bien lointains où, dans ses discours enflammés, il empruntait à Jean-Luc Mélenchon ses diatribes antilibérales et sa diabolisation aveugle de la finance.
À PROPOS DES AUTEURS
Yves Derai est éditorialiste à Atlantico. Chaque semaine, il écarte les lourds rideaux de velours des palais de la République pour nous en révéler les secrets.