Le général de Gaulle avait décidé, il fallait obéir, mais pour les musulmans engagés sur place, c’était la pire des trahisons.

© Deutsches Bundesarchiv (Wegmann, Ludwig)
ENFANT DE LA GUERRE
17 mars 2012
Guerre d'Algérie : la trahison française sur le désarmement des harkis
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"Il est de tradition, chez les amiraux de Castille, de choisir la mort plutôt que d'abandonner un seul de ses hommes". Cette réplique de Christophe Colomb, le général François Meyer l'a faite sienne cinq cent ans plus tard. Il témoigne dans "Harkis, soldats abandonnés" (Extraits 1/2).
THEMATIQUES
Histoire, International, Politique, France À PROPOS DES AUTEURS
En dépit des ordres, des obstacles et du danger, François Meyer, alors jeune lieutenant, a mis à l'abri en France, entre juin et juillet 1962, trois cent cinquante harkis, familles comprises. Non seulement il n'a pas abandonné ses hommes, mais encore, il les a accompagnés le reste de sa vie durant.