Le Premier ministre grec a une marge de manœuvre très réduite, avec une majorité plus résignée que solidaire, face à des Européens qui ont totalement oublié la Grèce lors de leur dernier sommet.

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QUITTE OU DOUBLE

9 juillet 2012

La Grèce au bout du chemin... Athènes tire ses dernières cartouches pour satisfaire l'Europe

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Le Premier ministre grec, Antonis Samaras, a prononcé son premier discours de politique générale, attendu au tournant par les sages financiers européens et mondiaux...