Certains créateurs de contenus vidéos français, non contents de voir une nouvelle taxe s’abattre sur le médium qui leur sert de gagne-pain, se sont mis à réclamer aussi vocalement que possible d’avoir eux aussi leur part du gâteau.

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Ce n’est pas parce que notre indécidable président a, apparemment, renoncé à se représenter que le quinquennat en est pour autant terminé. En six mois, on peut encore faire de gros dégâts. Et c’est ce à quoi semblent s’employer les députés dans leur législorrhée avec le retour, impromptu et obstiné, de la "taxe youtube".
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