Un panneau publicitaire de la marque Ben & Jerry's représentant l'ancien joueur de football américain Colin Kaepernick avec le message "Je connais mes droits", le 8 janvier 2021 à New York.

© Angela Weiss / AFP
BONNES FEUILLES
7 mai 2022
Comment les entreprises ont cédé à la tentation « woke » dans le sillage du mouvement Black Lives Matter
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Anne de Guigné publie « Le Capitalisme woke. Quand l’entreprise dit le bien et le mal » aux éditions Les Presses de la Cité. Sous la pression de la société civile, l'entreprise privée ne se soucie plus uniquement de rentabilité. Elle s'est engagée dans la grande marche vers le bien, embrassant tous les combats de l'époque. Très présent aux États-Unis, ce mouvement gagne peu à peu l'Europe, au risque d'organiser une forme de privatisation de l'intérêt général. Extrait 1/2.
MOTS-CLES
Economie , Entreprises , Anticapitalisme , Capitalisme , Woke , Wokisme , Cancel culture , Europe , France , Union européenne , Anne de guigné , Régulation , Encadrement , Censure , Liberté d'expression , Etats-unis , Société , Salariés , Marché du travail , Adidas , Louboutin , L'oréal , Nike , Préjudice , Inégalités , Diversité , Uber , Coca-cola , Racisme , Black lives matters , George floyd , Blackface , Appropriation culturelle , Luxe , Grandes marques , Grandes entreprisesTHEMATIQUES
Finance, Mode, Consommation, International, Société À PROPOS DES AUTEURS
Anne de Guigné est journaliste. Elle suit la politique économique française pour Le Figaro depuis 2017.