Après janvier sans alcool ou sans viande, janvier sans dopamine : faut-il vraiment vous inspirer de la résolution de nouvel an venue de la Sillicon Valley ?

Stéphane Gayet

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Une dose modérée de dopamine influe positivement sur une personne. Mais un trop plein de ce neurotransmetteur peut être néfaste pour la santé du patient. Une question se pose quant à cette substance : doit-on la bannir ou reste-t-elle une alternative intéressante ?

MOTS-CLES

Dopamine , Mois , France , Silicon valley

THEMATIQUES

Science, Santé, Société

À PROPOS DES AUTEURS

Stéphane Gayet

Stéphane Gayet est médecin des hôpitaux au CHU (Hôpitaux universitaires) de Strasbourg, chargé d'enseignement à l'Université de Strasbourg et conférencier.

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