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BONNES FEUILLES
5 septembre 2015
30 000 euros de dette publique à la naissance, etc... Les maux de la jeunesse française en 15 chiffres
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La variable d’ajustement de réformes toujours repoussées ? Nos enfants ! Filières de formation sans espoir, contrats précaires, logement inaccessibles, retraites en voie de disparition, fiscalité punitive: nous ne laissons plus à nos jeunes le choix qu’entre la résignation, la révolte ou l’exil.Un pays qui maltraite sa jeunesse est un pays en danger. L'auteur propose ici une nouvelle alliance entre générations. Extrait de "On achève bien les jeunes", de Bernard Spitz, publié chez Grasset (1/2).
À PROPOS DES AUTEURS
Maître des requêtes au Conseil d’État, ancien conseiller du Premier ministre Michel Rocard, ancien membre de la direction générale de Canal+ et de Vivendi Universal, créateur d’entreprise, Bernard Spitz est depuis 2008 le président de la Fédération française des sociétés d’assurances (FFSA) ainsi que le président du pôle International et Europe du Medef. Animateur du think tank « Les Gracques » et ayant contribué au livre programme « Ce qui ne peut plus durer,… » (Albin Michel, 2011), il compte parmi les voix réformistes qui poussent la gauche dans la voie de la modernisation.